Après un excellent tome 1, je n’avais qu’une envie, plonger dans le second tome de cette série, Le Printemps de l’espoir CIEL 2.0. J’avais vraiment trouvé L’Hiver des Machines excellent et prenant. Est-ce que Johan Heliot a réussi de nouveau à me scotcher ?
L’hiver s’achevait, un hiver rude pendant lequel l’intelligence artificielle avait révélé ses intentions : supprimer l’humanité pour sauver la planète. Les hommes étaient traqués, capturés, emprisonnés, exploités, déportés… Avec le printemps naissaient pourtant de nouveaux espoirs portés par des hommes et des femmes qui ne se résignaient pas. Mais défier les machines avait un prix, et tous ceux qui en prenaient le risque ne devaient pas oublier l’injonction de l’ennemi :
« Collaborez ou disparaissez ! »
Et j’ai envie de dire oui ! Je suis restée scotché du début à la fin ! On suit désormais les différents protagonistes du premier tome, que l’on connait bien maintenant. Les machines ont fait leur révolution et ont limite réduit les humains à l’esclavage. Plus on avance, plus les différents destins se dessinent malgré leur vie dans un monde contrôlé qui baigne dans une ambiance lourde au air de Seconde Guerre Mondiale. Mais, malgré tout, des rebellions se dessinent et s’organisent et de l’espoir renaît malgré tout.
Les rebondissements s’enchaînent, les personnages se dévoilent et les machines aussi. Le récit est dynamique, il n’y a pas de temps mort et malgré le fait que roman soit une fiction, il pousse grandement à réfléchir. Alors que le premier tome portait beaucoup sur l’écologie, même si celle-ci est présente dans ce second tome, ici, on nous pousse a réfléchir sur la nature humaine. Sans jamais être lourd ou donneur de leçons.
C’est pour moi de nouveau une réussite, à la hauteur du premier tome. A lire, ne serait-ce que pour réfléchir car, comme cela a été dit, c’est une fiction mais qui pourrait tellement être probable vu le monde dans lequel on vit. A découvrir absolument !
Note
Ce second tome est à la hauteur du premier : une vrai réussite. Un roman qui nous pousse de nouveau à la réflexion, dans un monde assez sombre nous rappelant la Second Guerre Mondiale mais avec une lueur d'espoir à l'horizon.