Jeudi dernier, je chaussais mes plus belles baskets roses (oui j’aime bien vous décrire mes chaussures, j’avoue) pour quitter ma cambrousse et affronter la Capitale ! Pour essayer King of Fighters XIII. Je vous le dis de suite, je n’ai pas joué aux autres et je suis une véritable quiche en jeu de baston. Ma plus grosse expérience est Tekken 3. J’vous avais prévenu !
Donc on me pose sur un petit canapé, comme à ma grande habitude, je suis en avance. Un coca, des Dragibus Soft et c’est tipar mon canard. Pour le moment, je suis toute seule, j’en profite pour tenter de faire quelque chose de mes dix doigts. Tiens on peut custom un peu ses persos. Aller hop, je joue la girly-touch, tous en rose, même les mecs ! Y a rien à faire, je suis vraiment TROP nulle. Deux autres personnes arrivent et je donne de suite le ton « Attention les mecs, je suis plus que mauvaise ». On se fait quelques battles, que bien évidemment je perds lamentablement (et la galanterie messieurs ?!).
Le jeu est apparemment moins rapide que les précédents. Les persos un peu pixélisés / aliasés. Enfin, ils se détachent pas mal du décor. Décors qui ont été dessinés à la main me dit-on. Mention spéciale au décor de Paris. Avec l’Arc de Triomphe et la Tour Eiffel ensemble et des françaises grosses, hystériques, qui s’empiffre à la terrasse de restos et qui attaquent à la baguette… Bref. Je fais mon équipe de trois parmi des personnages soit androgynes (quoi c’est un homme le héros ?!), soit gros bourrins ou, forcément, soit des nanas à très fortes poitrines. Bon même avec toutes les combinaisons possibles et imaginables, je me fais latter. Par contre, je rigole bien, ce qui est bon signe. Même quand je me bats contre un tueur qui semble posséder plus de dix doigts et qu’alors là, c’est limite le perfect de la honte que je me mange.
Nous avons également droit au mode Histoire du jeu. Oui alors bon, les modes histoire dans les jeux de bastons, c’est très anecdotique. La nouveauté est que pour une histoire, vous pouvez suivre plusieurs scénarios. Bon je suis tellement nulle que je ne suis pas allée bien loin, je n’arrivais même pas à battre la première équipe. À suivre donc, les jeux de bastons, c’est toujours fun en groupe !