Dreambreak c’est l’histoire d’un gars un peu pauvre, un peu paumé, qui se retrouve au centre d’une affaire d’état. Dans un monde alternatif où la guerre froide a donné lieu à une suprématie de l’URSS, le héros essaye tout simplement de survivre face à des policiers qui ne sont pas du genre à faire des sommations. Le jeu, lui, nous rappelle un certain Flashback. Malheureusement la maniabilité mal ajustée (le personnage ne peut pas courir et sauter ensuite, il faut d’abord qu’il s’arrête, par exemple) et surtout la difficulté très mal dosée (voir ma vidéo ci-dessous) font de Dreambreak un jeu tout à fait dispensable.
Le côté rétro-pixels est sympathique mais la mise en scène manque de finesse, surtout à cause de dialogues qui s’affichent dès qu’on se trouve près d’un personnage. Au final Dreambreak aurait pu être un sympathique jeu d’aventure, mais il a du mal à prouver sa valeur par son gameplay très mal ajusté. Et comme il y a pléthore de jeux indépendants dans la même mouvance, difficile de vous le conseiller.
Test vidéo de Dreambreak sur PS4
Ce qu’il faut en retenir
Note
Dreambreak tiens un scénario moyen dans un enrobage moyen servit par un gameplay médiocre. On aurait apprécié mettre cette production en avant, mais elle reste trop mal calibrée pour être conseillée.