Samedi 7 juillet a eu lieu la première diffusion de la DRL. Et nous y étions ! Enfin, on était sur le canapé devant la télé, hein. La diffusion était séparée en deux séquences d’une heure chacune. La première était une introduction à ce que c’est que la DRL et les différents compétiteurs. C’était vraiment intéressant pour comprendre les enjeux d’une telle compétition. En effet, lors de la première édition en 2016, aucun des participants n’était professionnel et partageait le pilotage de drones avec leur travail et leur vie de famille. Mais les finalistes de la saison se verraient offrir un contrat pour la saison suivante. Ils pourraient ainsi vivre de leur passion, le grand vainqueur gagnant forcément plus que les autres.
La deuxième partie couvrait la première étape de compétition qui se déroulait dans le stade des Dolphins de Miami totalement vide et équipé pour l’occasion. 12 pilotes s’affrontent et seuls 6 sont sélectionnés pour aller à l’étapes suivante où il rencontreront 6 nouveaux pilotes, si j’ai bien tout compris, c’est encore un peu flou. A chaque étape, les meilleurs pilotes engrangent des points qui leur permettent de passer à l’étape suivante et de se qualifier pour les phases finales de la saison dans l’espoir de décrocher le titre tant convoité de champion du monde.
Et bien, la course est ultra impressionnante, ça va vite, ça brille de partout, les drones et obstacles du circuits étant équipés de LED, les accidents sont ultra impressionnants bien que personne ne soit blessé. On se prend vite au jeu, on retient son souffle, on crie. Honnêtement, on a adoré et on a hâte d’être à la semaine prochaine pour la suite. Et puis les commentaires sont très bons. Les amateurs de catch connaissent déjà Marc Chavet qu’on adore retrouver. Mais son comparse Pierre-Yves Gaudillat fait également un excellent travail. Pour conclure, la course de drone est originale et très agréable à regarder pour tout amateur de sports qui sortent de l’ordinaire, de jeux vidéo ou de courses.