Le manga Darker Than Black de Yuji Iwahara (créateur original des personnages de l’anime) est basé sur la célèbre série animée produit par le studio Bones (Cowboy Bebop, Fullmetal Alchemist). Il s’agit d’un thriller futuriste en quatre tomes qui nous plonge dans une enquête inédite.
Voilà 10 ans maintenant qu’un champ de force d’origine inconnue, la Porte des Enfers, s’est dressé autour de Tokyo. Ce mystérieux bouleversement s’est accompagné de la mutation de nombreux humains en êtres dotés de pouvoirs surnaturels, les Contractants. Ces implacables machines à tuer sont souvent employées illégalement par certaines organisations mafieuses, voire quelques organismes d’État, pour s’acquitter des basses besognes…
Si leur existence reste une rumeur pour le grand public, c’est en partie grâce à la Section 4, une brigade d’élite créée dans le but de surveiller et d’appréhender les Contractants pour empêcher leur circulation au sein de la société civile… Pour Misaki Kirihara, jeune et brillant lieutenant de la Section 4, les dernières semaines n’ont pas été de tout repos : un mystérieux Contractant erre dans les rues de Tokyo et dupe ses victimes, des humains au bord du suicide, en leur proposant de les aider dans leur quête de vengeance…
Dès les premières pages, on sait qu’on arrivera pas à décrocher. Ce premier tome nous présente les différents personnages et l’histoire débute sur une scène de crime introduisant la femme lieutenant de police qui est responsable du département qui gère ces cas. On rentre directement dans l’action. Les Contractant sont d’une force assez incroyable mais il semble que même entre eux, ils ne sont pas d’accord, il semble y avoir un bon côté et un mauvais. Même si il semblerait qu’en grande majorité, ils utilisent leurs pouvoir à mauvais escient.
Donc pour moi, ce tome nous fait gentiment rentrer dans l’univers nous présentant les Contractants, la police qui enquêtes, de drôle de scientifiques assez difficile à approcher même si l’on représente la loi, des ados qui rêvent de devenir ces mutants. Mais on ne se retrouve pas noyé par plein d’information. La lecture est fluide et je suis fan des dessins, super classe et dynamique. Et pour une novice comme moi n’ayant pas encore vu l’anime (pas taper, c’est en cours de rattrapage), tout est très bien amené pour pas que l’on se sente perdu.
En gros, ce qu'il faut retenir
Note
Darker Than Black est un très beau manga avec une histoire qui semble prenante. Du moins, ça commence plutôt bien dans ce premier tome et j'ai de suite accroché l'univers et l'histoire.