On continue notre lecture de Kamisama School et cette fois, on s’attaque au tome 3. J’avais beaucoup aimé les précédents tomes même si le deuxième était un peu lent à mon goût. Autant dire que là, on entre dans le vif du sujet ! Et c’est franchement pas pour me déplaire ! (attention, risque de spoil si vous n’avez pas lu les tomes précédents.)
On ne naît pas déesse, on le devient !
Nagi et ses amis se remettent à peine de leurs émotions après leur séjour en pleine montagne qu’ils doivent déjà commencer à réviser pour les examens de mi-trimestre ! Malheureusement pour elle, la lycéenne a un train de retard sur ses camarades et aurait bien besoin d’aide…
Elle se tourne alors vers Tota, qui est un élève modèle, mais le jeune homme prétend ne pas pouvoir lui donner de coup de pouce… avant de lui laisser négligemment des livres utiles qu’il a empruntés à la bibliothèque. Peu après, lorsqu’elle veut les lui rendre, elle fait malencontreusement tomber la peluche de Takeru… qui s’est transformée en poupée maudite prête à attaquer les deux apprentis kami ! Nagi parviendra-t-elle à élucider ce mystère ?
Ici, on va un peu s’éloigner du cadre scolaire des premiers tomes pour se concentrer sur Nagi. On est bien sûr toujours dans le folklore de l’histoire avec les Kami et les sanctuaires mais on va plus s’intéresser à la vie privée de Nagi et surtout de sa relation avec son frère. Parce que finalement, on ne connait pas grand chose !
Et là, sans vraiment le vouloir, elle va déterrer un lourd secret de famille et va se mettre en quête de comprendre tout cela. Du coup l’histoire est assez rythmée et nous offre notre lot de révélations ! Mais aussi de questions. Autant dans le second tome, on avançait très doucement, autant ici, on va de rebondissements en rebondissements et l’intrigue est prenante. Mais sans survoler le sujet. Autant dire que ça nous donne envie de lire la suite. Côté dessin, je trouve ça toujours aussi beau et fin ! C’est clair, ça apporte beaucoup au récit et à sa compréhension, les personnages sont expressifs sans jamais en faire des tonnes. Vivement le prochain !