Pas besoin de présenter la saga de jeux made in Ubisoft, je pense qu’on la connait bien. Et même ma mère la connait, c’est pour dire… Non parce que pour situer le truc, ma mère n’aime pas la technologie, à par le téléphone, le fax et le minitel. Voilà. Bref ! Revenons à Assassin’s Creed et plus particulièrement au roman Assassin’s Creed Valhalla, L’Epée du Cheval Blanc d’Elsa Sjunneson disponible chez 404 éditons.
Mercie, 878 de notre ère – La mage-guerrière Niamh découvre l’existence de Ceux qu’on ne voit pas, une organisation secrète qui tente de s’établir à Lunden.
Sa terre natale étant marquée par les raids vikings, les guerres sanglantes et les conflits culturels, elle est déterminée à protéger ce qu’il en reste. La jeune femme infiltre alors ce nouvel ordre afin d’établir s’il s’agit d’alliés ou d’ennemis. Toutefois, sa loyauté est mise à rude épreuve lorsqu’elle apprend que Ceux qu’on ne voit pas sont en possession d’un artefact sacré pour son peuple. Rejetant ses récentes attaches, Niamh doit user de ses pouvoirs – et de la bonne volonté de ses dieux – pour survivre aux représailles.
Nous voilà en Angleterre au IV siècle et c’est plutôt le bazar entre les guerres de territoire et les guerres de religions… Nous suivons Niamh, une mage-guerrière qui devra partir de son village afin de retrouver un artefact qui pourrait sauver son peuple. Par la force des choses, elle va se retrouver côté vikings et autant dire que les conflits entre chrétiens et païens sont légions et plutôt sanglants… Même si j’ai trouvé ça assez soft dans le roman au niveau des combats (on n’est pas dans la série Vikings hein !)
Au cours de son périple, elle devra s’associer à Hytham et Marcella mais également à Valka qui est comme elle, une mage-guérisseuse. Tous sont Vikings avec des croyances différentes des siennes. Mais notre héroïne fera preuve d’une grande force afin de garder son objectif en vue. Même si sa conscience lui joue parfois quelques tours et la fragilise un peu par moment. C’est le prix à payer pour entrer dans l’organisation que l’on appelle “Ceux qu’on ne voit pas”.
On se doute bien que son parcours sera semé d’embuches et qu’elle devra accomplir un certain nombre de quêtes annexes mais qui vont toutes l’aider dans sa quête principale. L’histoire est prenante et c’est plaisant de croiser des personnages du jeu (coucou Eivor). Même si certains retournements de l’histoire arrivent un peu trop facilement, j’ai trouvé ce roman plaisant à lire et j’ai adoré me plonger dans une saga que j’adore. On voyage entre les Vikings et les légendes arthuriennes. Une lecture simple mais efficace !