Nous avons eu la chance d’assister au show de la WWE à l’Accor Hotel Arena anciennement POPB qui a eu lieu mardi 14 mai. Mais nous avons également eu l’honneur et le privilège rencontrer deux des meilleures, si ce n’est les meilleures, superstars actuellement en activité (voire de tous les temps), Becky Lynch championne aux deux ceintures et AJ Styles ancien champion du monde de la WWE. Vous pouvez d’ailleurs voir nos tronches sur le site officiel de la WWE. Et ça, c’est quand même super classe. Les interviews étant sous la forme de tables rondes toutes les question ne sont pas de nous mais également de nos confrères présents.
Interview de Becky Lynch
Question : Que voyez-vous dans votre futur ?
Becky Lynch : Je vais commencer par battre à nouveau Charlotte Flair, comme toujours, à Money in The Bank. Et ensuite ce sera Lacey Evans pour la première fois (également à Money in the Bank, ndlr.) On ne sait pas ce qu’elle sait faire. Vous l’avez déjà vu combattre ? Et ensuite je vais régler toutes les vendetta en cours. Il y a beaucoup de personnes qui m’ont fait du tort pas le passé. Je crois que pendant la première année dans le roster principal j’ai été provoquée pas moins de 8 fois. Et c’était une Becky Lynch plus jeune et vulnérable. Et aujourd’hui je reviens les faire payer.
Q : Vous étiez dans le Main Event de Wrestlemania, qu’elle est la prochaine étape pour la division féminine ?
BL : Continuer à être dans le Main Event de Wrestlemania. Je pense que ce qui est important c’est de se maintenir, s’assurer que les gens reste impliqués dans leurs matchs, ce qui se passe et avec les fans. Je voulais que les fans veuillent ce match en Main Event parce que c’était le meilleur match non parce que c’était une décision d’entreprise ou un nouveau pas dans l’évolution féminine. C’était parce que nous étions trois catcheuses que les gens aimaient et voulaient voir combattre en dernier. Et c’est ce que je veux continuer à voir se produire. Et je pense qu’on est sur la bonne voie.
Q : Des conseils pour toutes le petites filles qui voudraient devenir catcheuses ?
BL : Oui, les mêmes que ceux que je donne à tous ceux qui veulent devenir catcheurs. Vous devez travailler et vous impliquer. Je pense qu’avec le catch, travailler dur, ce n’est pas juste une formule simple. Vous savez sur quoi vous devez travailler. Vous devez travailler votre technique dans le ring. Vous devez avoir une aisance au micro. Vous devez avoir une présence et du charisme. Vous deviez avoir un look. Vous devez être en forme. Vous savez que vous devez étudier la technique. Si vous pouvez faire tout ça, être impliqués voire même un peu obsédé par ça, je ne vois ce qui peut empêcher quiconque d’y arriver.
Q : Après avoir remporté votre match à Wrestlemania et gagné vos deux ceintures, qu’avez vous fait de retour en coulisses ?
BL : Mon dieu c’est comme si tout était flou. Il se passait tellement de choses. Tellement d’adrénaline. Et d’avoir réussi à atteindre ce pourquoi vous avez travaillé toute votre vie, ça fait beaucoup à digérer. Et je pense que je n’ai même pas pris de temps de me poser et laisser passer l’émotion. Et après j’ai simplement remercié tout ceux à qui je devais d’être là.
Q : Quelle serait votre match de rêve avec une superstar actuelle ou ancienne ?
BL : Vous savez, c’est dur à dire. Il y beaucoup de gens que je voudrais combattre. Mais récemment, j’ai été provoquée par Beth Phenix. Elle s’est un peu trop rapprochée de ma ceinture, la bleue. Et je n’ai pas tellement apprécié. Je sens qu’elle peut encore combattre. Donc j’aimerais bien aller sur le ring avec Beth Phenix.
Q : Vous avez déjà combattu en France au cours de votre carrière, quels sont vos souvenirs ?
BL : Je me souviens avoir combattu dans un champ. Je ne me souviens plus où. Ca devrait quelque part à l’extérieur de Paris. Je me souviens la “rampe”. Il y avait de la crotte de cochon par terre. Et Finn Balor était là aussi. Je me souviens juste d’avoir marché, et c’était tellement long, à travers ce champ pour arriver au ring. Et il y avait genre 100 personnes et je suis peut-être un peu généreuse. Et je pense que ça devait être un ring de boxe. Ca faisait mal. Ca faisait tellement mal. Et ma première fois en France c’était à Toulouse. C’était très beau.
Q : Vous êtes une femme et une catcheuse, comment exprimez-vous votre féminité et votre style ?
BL : Vous savez, je n’y pense pas vraiment. Je suis une femme. Et c’est tout. Et pour mon style, j’aime que ce soit simple. Non je blague. Des fois j’aime être simple. Récemment, je reste simple avec du noir uni.
Q : Vous qualifiez vous comme la face de la WWE aujourd’hui ?
BL : Absolument ! Je suis sur deux shows. AJ Styles et Seth Rollins peuvent se battre tant qu’ils veulent sur la maison construite par AJ ou si c’est Monday Night Rollins. Non, non, non. Il n’y a qu’une personne à la WWE qui a deux ceintures. Je dirige les shows.
Q : Choisissez-vous vos noms de scène et si oui, ont ils une signification ?
BL : Oui, quand je suis arrivé il y avait plusieurs noms que je voulais et je voulais mon propre nom dedans. Je m’appelle Rebecca et je voulais une partie de ça dedans peu importe comment. Et Becky remplissait ce rôle. Et Lynch, c’était juste parce qu’il fallait un nom à consonnance irlandaise. Il y avait au final plusieurs noms possibles et Becky Lynch en faisait partie et j’ai choisi celui là.
Q : Aimeriez-vous enseigner le catch dans une école ?
BL : On apprend beaucoup plus en enseignant, pas vrai ? C’est ce qu’on m’a toujours dit. Je ne pense pas avoir la patience. Je sais pas si vous avez remarqué mais parfois je m’emporte un peu. J’adore parler de ce business et j’adore m’immerger dans ce business. Et je pense que j’aimerais de temps en temps enseigner mais je ne sais pas si je pourrais le faire à plein temps. Pour moi c’est surtout y aller, participer et claquer quelques têtes. Si je le fais dans une classe, je pourrais avoir des soucis.
Q : Ronda Rousey est en colère depuis votre victoire. La voyez-vous revenir se venger ou simplement revenir à la WWE ?
BL : Difficile à dire. On sait ce qui se passe quand Ronda Rousey perd. Elle s’en va, elle pleure. Elle se renferme sur elle pendant trop longtemps. Elle ne revient pas immédiatement. Il faut la laisser se remettre. Et après, comme je l’ai dit, si elle veut retenter sa chance contre The Man, je l’attendrai avec mes deux ceintures toutes brillantes. Lui rappeler pourquoi elle est partie à l’origine.
Q : Pendant sa période à la WWE, voyiez-vous Ronda Rousey comme légitime dans le catch ?
BL : Absolument. Et je l’ai dit dans toute les interviews. Ronda est faite pour ça. Elle est phénoménale. Je pense pas qu’on ai vu quelqu’un s’adapter à ce business aussi rapidement, à part Kurt Angle. Mais je ne pense pas qu’elle comprenait à quel point c’est dur. Et l’engagement qu’il faut. Et donc, ce que j’ai toujours dit c’est que pour battre Ronda, il ne faut pas viser le physique. Son corps est solide et fort. Il faut battre son esprit. Elle n’est pas mentalement faite pour ce business.
Q : Si vous rejoignez dans le futur la division par équipe qui voudriez-vous comme partenaire ?
BL : Bonne question. Il y a un an, j’aurais dit Charlotte Flair mais les choses ont beaucoup trop empiré maintenant. Vous devez choisir celle en qui vous pouvez avoir le plus confiance. Et je pense que ça doit être Naomi. Fire and Glow pourrait être notre nom.
Q : Après le titre par équipe féminin, si on avait un jour un titre par équipe mixte, qui aimeriez-vous comme partenaire ?
BL : Probablement Seth Rollins (ils sont en couple dans la vraie vie, ndlr.) Mais pour être honnête, il y a beaucoup de bonnes options. Finn Balor, avec qui j’ai un passé. Ou Shamus, irlandais lui aussi. Rejoindre The Bar. AJ Styles, parce qu’il est phénoménal. Mais ce sera Seth Rollins. Je pense que c’est le meilleur. Totalement impartiale.
Interview d’AJ Styles
Question : Comment avez débuté le catch et pourquoi ?
AJ Styles : J’ai commencé parce que j’ai rencontré des amis qui étaient des gros fans de catch. Et je plaisantais avec eux. Je leur ai dit “Si vous trouvez un endroit où s’entrainer, je viendrai avec vous.” Et ils l’ont trouvé. Et c’était proche de ma maison donc je me devais d’y aller. Et quand j’ai fait ma première chute dans un ring, j’ai su que c’était le boulot que je voulais faire toute ma vie. Aussi fou que ça puisse paraitre.
Q : Qu’est-ce que ça fait d’être à la poursuite du titre de RAW après un long règne à Smackdown ?
AJ : C’est fait du bien parce que c’est différent. Bien que RAW et Smackdown appartiennent à la WWE, pour moi, il a toujours une compétition entre les deux shows. Et c’est une bonne chose. Et l’opportunité de devenir Champion Universel, ceinture que je n’ai jamais détenue, c’est important. J’ai hâte de battre Seth Rollins.
Q : Vous vous appelez AJ Styles, quelle est votre définition du style ?
AJ : C’est d’être comme personne. D’être différent, unique. Parce que je ne suis comme personne d’autre. Mes prises sont uniques, ma façon d’agir, mon style. Tous est différent chez moi. Le fait que je ne me mouille pas les cheveux avant un match est différent. Différent c’est bien dans ce business.
Q : Vous avez parcouru le monde et de nombreuses fédérations, quels sont les différences principales entre ces fédérations et la WWE ?
AJ : Je pense que la différence principale est que quand vous arrivez à la WWE, vous comprenez à quelque point c’est immense et massif en réalité. C’est beaucoup plus grand que ce qu’on peut imaginer. C’est tellement plus grand que n’importe où je suis allé. Mais vous pouvez seulement savoir une fois que vous y travaillez, que vous voyez tout ce qui est fait et le nombre de personnes qui travaillent à en faire le meilleur du divertissement sportif.
Q : Quelle serait votre match de rêve avec une superstar actuelle ou ancienne ?
AJ : Vous savez, avant je pensais que la question des matchs de rêves m’était destinée, mais non. Elle est destinée aux fans, l’univers de la WWE. Je veux leur donner le match de rêve qu’ils veulent voir. C’est ce qui est important pour moi maintenant. Pas vraiment qui je veux parce que ce ne sera pas forcément qui vous voulez. Mais qui est vraiment important dans cette question ? Ce sera toujours les fans.
Q : Si vous gagnez à Money in the Bank contre Seth Rollins, serez-vous à nouveau amis ?
AJ : J’aime à penser que oui. Je deviens très compétitif surtout quand une ceinture est en jeu. Mes émotions prendront toujours le dessus quand il s’agît de quelque chose d’aussi gros. Le temps nous le dira. Le temps soigne tout comme on dit. Et à la WWE, quand vous regardez deux gars qui était meilleurs amis avant leur rivalité, ils finissent pas se réconcilier.
Q : Quel est le ressenti dans les vestiaires maintenant que le champion défend son titre ?
AJ : Tout le monde est excité parce que tout le monde veut tenter sa chance. Tout le monde veut une opportunité pour les titres à Smackdown ou RAW maintenant qu’il y a la règle des Wildcards (quelques superstars peuvent venir dans le show qui ne leur est pas attribué chaque semaine, ndlr.) Presque tout le monde peut poursuivre le titre universel ou le titre de la WWE. C’est très excitant pour tout le monde dans les vestiaires et pour les fans.
Q : Smackdown était la maison bâtie par AJ Styles. Comment comptez-vous faire de même maintenant que vous êtes à RAW ?
AJ : Je pense que Seth Rollins dit que c’est sa maison, son jardin. Quoique ce soit c’est Monday Night Rollins avant tout. Et c’est bien. Je le lui laisse. Mais il va quand même perdre le titre universel. Et s’il pense que c’est toujours sa maison sans le titre, ça me va.
Q : Vous jouez pas mal aux jeux vidéo, quels sont vos préférés ?
AJ : Je pense que ça change avec le temps. Certains types de jeux deviennent plus intéressants. A un moment j’étais très shoot-em up ou jeux à la troisième personne. Le plus fou c’est qu’aujourd’hui, on ne peut pas juste arriver dans un jeu. Il faut savoir y jouer. Ca va prendre un moment avant de devenir bon. Il y a une énorme courbe de progression dans tous les jeux. C’est pourquoi beaucoup de gens restent sur ce qu’ils connaissent pendant longtemps. Pour moi c’est PUBG. Pour d’autre Fortnite. Ca change avec le temps et quand le jeu devient vieux on change pour quelque chose de mieux et plus grand. Mais pour le moment ce sont les shooters pour moi.
Q : Aimeriez-vous enseigner le catch dans une école ?
AJ : J’aime vraiment aider les autres. Je ne sais pas si j’aurai un jour la possibilité de devenir coach mais on ne sait jamais. J’aime ça et on a le Performance Center (lieu d’entrainement des superstars, ndlr) Et on essaie d’en ouvrir d’autres à travers le monde. Donc qui sait ce qui pourrait arriver.
Q : La tournée européenne est différente, le public, l’ambiance sont différents par rapport aux États-Unis. Qu’aimez-vous la dedans ?
AJ : Je pense qu’il faut connaitre son public. Tous les publics ne réagissent pas pareil, c’est vrai. Au États-Unis également, du nord au sud. C’est toujours un petit peu différent. Au Japon, il ne font pratiquement aucun bruit. C’est différent. Et c’est amusant quand vous finissez par comprendre ce qui les fera réagir. Et leur réaction ne sera pas forcément de crier mais peut-être de taper des pieds. J’adore tout ça, voir si je peux arriver à leur faire faire un peu de bruit. Mais je traite tout le monde de la même façon. Je n’essaie pas de faire quelque chose de différents sauf si il y a besoin de quelque chose de spécifique. Les matchs sont souvent construits de la même façon.
Q : Regardez-vous d’autres sports en dehors du catch ?
AJ : Pour le moment, le seul sport que j’essaie de voir ce sont les matchs de mes enfants, parce que je n’ai pas le temps de regarder autre chose. Ma femme m’envoie une vidéo de mon fils jouant au baseball. C’est comme ça que je vois la plupart des matchs maintenant. Mais ils font beaucoup de sports. Et j’ai eu l’occasion de les voir jouer au football américain et au baseball cette année.
Q : Si vous ne pouviez choir qu’un moment comme votre meilleur à la WWE lequel serait-ce ?
AJ : Je pense que ce serait surement mes débuts au Royal Rumble. Parce que je n’était pas sûr de la réaction des gens à AJ Styles. J’étais au Japon depuis deux ans. Peut-être m’avaient-il oublié. C’était un moment terrifiant. Parce que si je ne recevais aucune réaction, je n’aurais pas grand chose d’autre. Et j’étais content d’entendre que les gens se souvenaient. J’avais encore beaucoup à prouver. Mais ce moment était définitivement mon meilleur.
Q : Après le titre par équipe féminin, si on avait un jour un titre par équipe mixte, qui aimeriez-vous comme partenaire ?
AJ : Je pense que Charlotte et moi nous sommes bien débrouillés en équipe. Et je pense que l’on pourrait gagner le Mixed Match Championship. Pour moi, c’est une des meilleures au monde. Et ça ne me dérangerait pas de partager un titre avec elle.
Q : Que voyez-vous dans votre futur ?
AJ : Partir en retraite. Plus je deviens vieux, plus c’est dur d’être phénoménal. Votre corps change et passe par tellement d’état que vous n’êtes pas sûr quoi faire après. Mon but principal est de pouvoir partir en retraite mais de toujours avoir la possibilité de travailler pour la WWE.
Q : Vous n’êtes pas passé par NXT (le vivier de “jeunes” talents de la WWE, ndlr) mais si vous deviez choisir un talent qui pourrait devenir un grand dans l’avenir qui ce serait ?
AJ : On a déjà amenée tellement de talents de la NXT récemment. Ca pourrait être l’un de ces gars. Aleister Black, Ricochet. Mais il y a aussi beaucoup de talent à NXT. Je connais ces gars, je sais ce qu’il pourrait devenir. Mais c’est un autre monde quand vous arrivez dans le roster principal. Donc c’est difficile de savoir comment les gens vont réagir. C’est tellement différent. Ca ne devrait pas, mais ça l’est. Donc c’est dur de dire qui sera la prochaine star montante. Est-ce qu’on en a ? On en a plein. L’important c’est qui va saisir l’occasion. Vous ne pouvez pas savoir tant que vous n’y êtes pas.
Q : Quel serait votre méchant préféré au sein de la WWE de tous les temps ?
AJ : Wow, c’est une question difficile. Je pense l’un des actuels est le meilleur bien qu’il soit gentil en ce moment. Il est l’un de meilleurs car il énerve les gens juste avec son style. Le Miz est le meilleur méchant qui existe. Et c’est incroyable à quel point les gens détestent ce gars mais il réussit quand même à nous sortir un rôle de gentil. Et j’ai hâte de le voir revenir méchant parce qu’il peut claquer des doigts et redevenir l’ancien Miz à nouveau.
Le tapis rouge ou preshow
Juste avant le début du show, on pouvait une dernière fois retrouver AJ Styles et Becky Lynch en compagnie de VIP (que je ne connaissais pas pour la plupart) pour une séance de photos ou de questions avec d’autres media que ceux de l’après-midi. C’était juste un peu dommage que Becky Lynch ait dû nous quitter un peu précipitamment car elle participait au match d’ouverture du show.
Le show
On arrive enfin au grand moment de la journée. Le show de la WWE. Au programme, 3 heures de matchs, de spectacle et d’ambiance. Les superstars nous ont offert un spectacle de toute beauté. Bien sur, on ne retrouve pas l’intensité d’un pay-per-view car il faut éviter un maximum que les superstars se blessent, encore plus dans un événement non télévisé. Mais c’était tout de même énorme. Il faut savoir que des shows, il y en avait presque tous les soirs aux quatre coins de l’Europe. Un blessure est vite arrivée.
Et encore une fois le public français a fait honneur à sa réputation. L’ambiance était dingue, ca criait, ça huait, ça encourageait, ça réagissait tout simplement. On ressort de là sans voix à force de crier. Mais le jeu en vaut la chandelle. La WWE reviendra le 12 novembre à Lille, pour ceux qui auraient loupé ou voudraient voir à quoi ça ressemble en vrai à moindre coût qu’à Bercy. Et en cadeau, une petite vidéo de l’ambiance pour l’arrivé des deux derniers catcheurs pour ce qu’on appelle le Main Event.
Crédit Photo : WWE_Geogia Dallas et quelques unes de Shoop
EDIT :
Si vous voulez voir à quoi ça ressemble, retrouvez le catch en exclusivité sur AB1 le mercredi à 20h40 pour RAW et le vendredi à 20h40 pour Smackdown. Et retrouvez également les Pay-per-Views dans la nuit du dimanche au lundi à 1h05 en quasi simultané avec les États-Unis. Le tout commenté par le duo légendaires de commentateurs Philippe Chéreau et Christophe Agius.