Après l’excellent (pour ma part) Assassin’s Creed et son Altaïr, Ubisoft quittait l’époque des Croisades pour se plonger dans la Renaissance Italienne et nous offrir un nouveau héros, devenu assassin malgré lui : Ezio Auditore da Firenze. En effet ce jeune homme à la grande gueule, insolent et sur de lui embrassera sa carrière d’assassin uniquement pour venger son père et ses frères exécutés par les Templiers.
Ezio tranche radicalement du sobre et droit Altaïr. Charmeur et presque agaçant au début de son aventure, il changera d’attitude au fur et à mesure. Charmeur il restera mais attachant il deviendra. Et très vite j’ai accroché à ce jeune homme en quête de vengeance, insouciant au départ et pour qui la vie bascule d’un coup. Oui, je sais ça fait pompeux dit comme ça mais j’attache une grande importance à mes héros de jeu et leur vécu. Et Ezio fait partie de ces héros que j’ai du mal à quitter et que j’adore. J’aime tout chez lui. Sa classe, son humour à deux euros, sa souplesse… Bref. Assassin’s Creed 2 reste un de mes jeux préféré. Le cadre change radicalement du premier. La jouabilité est plus ou moins la même et du coup, on n’est pas dépaysé. Un peu long à démarrer certes. Mais le terrain de jeu est immense ! Juste visiter Venise peut prendre des heures. Et c’est beau. Ezio possède non pas une mais deux lames secrètes, top classe. Enfin bref, je ne vais pas vous refaire le test. Mais pour moi ce deuxième opus corrigeait certaine erreurs de son ainé et les améliorations n’étaient pas nombreuses mais vraiment sympa (comme l’apparition des tombes des Assassins, au nombre de six, sorte de petit donjon où l’on grimpe partout et on tente d’éviter moult piège afin de récupérer des sceaux.) La bande-son par Jesper Kyd est tout simplement sublime et les doublages soignés.
Bref, Assassin’s Creed II reste une magnifique aventure pour peu qu’en plus on adore les histoires de Templiers et autres. Et puis, Ezio quoi les amis… Ezio….