Daylight avait de quoi donner envie, une jeune femme qui se retrouve dans une sorte d’asile lugubre avec comme seul compagnon d’infortune son smartphone qui l’éclair et lui dessine un plan au fur et à mesure de ses pérégrinations.
Seulement voilà, si le jeu se base sur une ambiance glauque avec des bruits louches à chaque couloir, le jeu n’est finalement qu’un seul grand couloir avec des portes et des escaliers dans lequel il ne se passe rien ! Pour pouvoir passer au niveau suivant, vous devez découvrir tous les vestiges du niveau pour débloquer la porte… Donc vous voilà en quête de n’importe quel meuble qui s’ouvre ou bout de papier qui traîne pour continuer d’avancer dans une histoire totalement inintéressante.
C’est une amère déception que ce Daylight qui se targue d’utiliser l’Unreal Engine et un univers généré aléatoirement, mais pour quel résultat ? Des tas de pièces similaires, vides, sans vie et sans frayeur quand on a eu les mêmes mécaniques trois fois de suite. Daylight n’est donc tout simplement pas à conseiller et c’est dommage.