Ici, nous avons des fans de Gears of Wars. Dont je fais partie. Alors quand on m’a proposé de retrouver mon Marcus Fenix adoré, dans une version remastérisée du premier Gears of War, sortie il y a déjà 9 ans, j’ai accepté avec un énorme sourire.
A sa sortie en 2006, Gears of War m’avait scotché le cul au canapé : c’était beau, très beau, le gameplay était nerveux, très nerveux et ça partait dans tout les sens. Je découvrais Marcus et ses acolytes, tous remplis d’une grande finesse physique et verbale, le bonheur. Les phases de shoot étaient presque crevantes tellement elles étaient intenses. Un gros TPS qui tache pour moi. Un des meilleurs même.
Du coup, elle vaut le coup ou pas cette Ultimate édition ? Oui, j’ai envie de dire oui. Pas parce que je suis super fan, enfin si un peu quand même mais surtout parce que cette version remastérisée n’est pas pour moi un foutage de tronche. C’est beau, y a plus de détails, plus de profondeurs et surtout des effets de lumière vraiment magnifiques. Même les personnages paresse plus jeunes, plus beaux, plus lisses. Et quel plaisir de retrouver les dialogues fleuris de ces hommes toute en finesse ! Concernant le mode online, je n’en parlerais pas, je ne l’ai pas testé (bouuuuuuuuuuuuuuh !!)
Alors je ne vais pas rentrer dans les détails technique parce que je suis une vrai quiche mais ayant plutôt du bon matos, ça le fait ! C’est beau, j’ai trouvé ça plutôt fluide, quelques décors qui apparaissent un peu en retard mais rien qui ne m’ai dérangé. Niveau son j’ai des enceintes un peu partout et entendre les Locuste se pointer derrière moi, c’était jouissif ! Jouer à Gears of War c’est toujours aussi fun et aussi plaisant. Si vous n’avez jamais touché cette série (comment est-ce possible ??), faut y aller les yeux fermés ! Et si vous l’avez déjà fait sur 360, faut aussi y aller les yeux fermés ! Défoncer des Locustes, y a que ça de vrai ! Culte.
Note
Beau travail de réalisé avec cette Ultimate Edition. Allez y les yeux fermés. En tant que fan, un vrai bonheur de retrouver Marcus Fenix et ses comparses. On en veut encore !!!